Cake pomme-cannelle

Publié le par Vasso

Ici vous avez une photo en version mini-cakes mais si vous préférez faire un grand (ou si n'ayant pas de moule à mini-cakes vous êtes obligé de faire un grand) c'est bon aussi. Il faut juste cuire le double de temps.
Donc pomme-cannelle, saveur de l'enfance par excellence...enfin qu'ils disent hein parce que moi c'est plutôt riz au lait de grand-mère et gâteau au chocolat de maman. Mais il faut croire que même en cuisine il y a des clichés.
Quoi qu'il en soit cette recette est légère, car elle ne comprend pas de beurre donc c'est meilleur pour la ligne (surtout après un diner de tapas faut compenser), le revers de la médaille c'est qu'il faut consommer rapidement car après 24h il prend une texture un peu caoutchouteuse.

2 oeufs
140g de farine
70g de sucre
3 cuillère à soupe d'huile neutre (colza, arachide...)
100g de fromage blanc
1/2 sachet de levure chimique
2 pommes
1 cuillère à soupe de cannelle en poudre

Préchauffez le four à 180°C (th.6). Battez les oeufs avec le sucre jusqu'à ce que le mélange mousse. Ajoutez la farine, la levure et une pincée de sel. Détendez la pâte obtenue avec le fromage blanc et l'huile. Epluchez les pommes et coupez-les en petits morceaux, mêlez à la cannelle et faites cuire une minute au micro-ondes. Mélangez les pommes et la pâte et versez dans le moule. Placez dans le four 25 ou 50 minutes selon l'option choisi.

Publié dans macuisineamoi

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
M
ah oui c'est une façon de voir! D'ailleurs en espagnol quand on est choqué on s'exclame "ostras" soit "huîtres!"
Répondre
M
Mot politique grec (ostrakismos) emprunté au XVIe siècle et désignant le bannissement pour dix ans, prononcé par l’assemblée des citoyens, d’un dirigeant suspecté d’être trop ambitieux. Il dérivait d’ostrakon, qui signifie “tesson” : en l’absence de papier, les tessons de poterie servaient de support à l’écriture, et en particulier à l’expression des suffrages et des sentences de l’assemblée. Mais ostrakon signifiait aussi “coquille”, et, via le latin ostrea, il a donné également “huître”. L’ostracisme, c’était l’art d’empêcher les huîtres de trop s’accrocher aux postes.
Répondre
C
dis Vasso y  t'en reste de ces cakes?
Répondre
S
ça s'est sûr, je sais pas vous, mais moi après Pica Pica, j'ai trop de mal à dormir...c'est trop trop trop ces tapitas
Répondre